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Par Les-lectures-de-Mary le 1 Mars 2016 à 08:47Né en région parisienne en 1969, Sébastien Fritsch s’est installé à Lyon en 2000. De formation scientifique, il a travaillé une quinzaine d’années dans le domaine de la logistique pharmaceutique avant de se reconvertir dans l’enseignement. Il a publié cinq romans à ce jour, dans des univers et sur des thèmes très différents : romans noirs, contemporains ou historiques, évoquant transmission familiale, influence de la littérature, fidélité dans l’amitié, violence conjugale. Leurs points communs ? Un attachement aussi important à la langue qu’à l’intrigue et une petite tendance à mener les lecteurs en bateau jusqu’aux toutes dernières lignes.
Bibliographie
• Se retenir aux brindilles, Éditions Fin mars début avril, 2012.
• Invitation pour la petite fille qui parle au vent, Éditions Fin mars début avril, 2010.
• Derrière toute chose exquise, Éditions du Pierregord, 2009 et Éditions Fin mars début avril (poche), 2014.
• Le Sixième crime, Éditions du Pierregord, 2008 et Éditions Fin mars début avril (poche), 2012.
• Le Mariage d'Anne Orval, Éditions Créer, 2007.Son 6ème roman "Albédo" est sortit en juin 2016.
Vous pouvez d’ores et déjà découvrir la bande-annonce et la quatrième de couverture : https://www.youtube.com/watch?v=okVyiDt3Zzo• Blog personnel
• Site des Éditions fin mars début avril
• Site des Éditions CréerJ'ai lu :
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Par Les-lectures-de-Mary le 1 Mars 2016 à 08:44Âgée de 40 ans, originaire de la région lyonnaise, Catherine Rolland écrit depuis l'adolescence, une passion qu'elle mène de front avec son métier de médecin et sa vie de famille. Mère de deux enfants, elle a exercé dans un cabinet de médecine générale des Monts du Lyonnais pendant une dizaine d'années, avant de déménager en Suisse où elle travaille aux urgences de l'hôpital de Neuchâtel.
Ses romans explorent des univers variés et souvent éloignés de son quotidien, comme dans Ceux d'en haut et Après l'estive où elle entraîne le lecteur à la découverte d'une famille d'éleveurs de chevaux, au cœur des montagnes sauvages d'Ariège. L'occasion pour l'auteur de dépeindre un monde rural attachant où les traditions ancestrales, comme la transhumance, sont farouchement préservées, mais aussi de plonger au cœur des rapports humains souvent passionnés qui régissent ces familles à la manière d'un clan.
Catherine Rolland, pourtant, ne veut pas se cantonner à un seul genre, et moins encore se retrouver emprisonnée dans un certain style, le terroir pas plus qu'un autre. Son troisième roman, sorti en mars 2016 chez le même éditeur, illustre sans doute cette volonté de renouvellement, ce besoin d'explorer d'autres thèmes, de raconter d'autres histoires, à la rencontre de personnages auxquels le lecteur s'identifie et qu'il n'a pas envie de quitter…J'ai lu :
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Par Les-lectures-de-Mary le 1 Mars 2016 à 08:43Né en 1980 à Neustadt en Allemagne, Mathias vit un an en Allemagne avant de vivre en France. En 1994 il partira vivre quatre ans en Afrique au Sénégal. En 1998 il revient à Marseille où il vit actuellement.
Attiré très tôt par la lecture, il commence à écrire des romans et nouvelles à l'âge de douze ans ainsi que de nombreux scenarii qu'il met en scène avec des amis. Le lac à la licorne, dont il débute l'écriture en 2007 est sa première trilogie de Fantasy. Le lac à la licorne partie I est son premier véritable roman.
En janvier 2016, il sort un roman horrifique! Son titre est Le Dauphin Blanc , il coûte 2.99 Euros et est disponible sur Amazon.
Adresse de son site d'auteur : http://www.mathias-lanuit.comJ'ai lu :
Le lac à la licorne partie 3 Depuis mes chroniques, l'auteur a rassemblé ses 3 tomes en 1 seul!
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Par Les-lectures-de-Mary le 1 Mars 2016 à 08:42Je suis française, née à la fin des années 1960. Mon berceau familial est la Hongrie, Budapest précisément, où mon grand-père et mon arrière-grand-père sont de célèbres écrivains. Bilingue français-hongrois, très proche de ma grand-mère, j’ai passé chaque été de mon enfance chez mes grands-parents. Sans y voir autre chose qu’un mode de vie différent du mien, j’y observais de véritables rituels d’auteur : les matins, pendant que mon grand-père rédigeait au stylo sa prose du jour, sa femme dactylographiait sa production de la veille. Ces moments faisaient partie de la magie des vacances. Je me rappelle encore la petite table où trônait la machine à écrire de ma grand-mère, soigneusement recouverte de sa protection ; le vaste bureau de mon grand-père se dressait dans une autre pièce, son pourtour encombré de feuillets et de romans tandis qu’en son centre un sous-main délimitait l’espace destiné à la création.
D’un caractère farouchement rationnel, enfant je passais mon temps à construire des maisons en Lego et à m’inventer les scénarios qui allaient avec. Mon histoire familiale m’attirait vers la littérature, sans doute, et ce dès le plus jeune âge. En revanche, j’ai rejeté le français à l’école et j’ai développé une prédilection pour la biologie et la chimie ; je me suis consacrée à des études scientifiques et une carrière industrielle.
Mais sans même y faire attention, au cours de ces années où je m’enthousiasmais à inventer de nouveaux produits agroalimentaires ou à acheter des machines de fabrication dernier cri, les soirs, je dévorais livre sur livre. Et un beau jour, je me suis mise à prendre la plume à mon tour.
Aujourd’hui, j’accompagne les entreprises à la prévention des risques professionnels, un métier tourné davantage vers l’humain et moins vers la technique. Un métier qui me passionne. En parallèle, j’écris des nouvelles et, depuis peu, des romans.
Qu’est-ce que je lis ?
J’ai une prédilection pour l’écriture réaliste. Les drames humains ont cela de terrible en littérature, qu’un lecteur empathique ne peut que se désoler de leur arrivée, sans rien pouvoir y changer. J’ai besoin de ressentir cette émotion lorsque je lis un livre ; j’aime analyser la portée sociale d’un roman selon mes propres repères, me forger une opinion sur chacun des personnages. La dimension psychologique des héros a pour moi une importance plus grande que l’action elle-même. Le drame doit être avant tout intérieur.
Dans mon adolescence, j’ai lu et relu les auteurs classiques comme Dickens, Hugo ou Zola. Comme ce passe-temps n’était pas populaire parmi mes camarades de classe, je me situais en marge de leurs centres d’intérêt, mais je m’en moquais. Les livres constituaient mon propre moyen d’évasion et c’était très bien ainsi. Je ne me suis ouverte à la littérature contemporaine que bien plus tard. Bénis soient les libraires qui savent accompagner et conseiller de manière personnalisée ! Aujourd’hui, si Zola et ses congénères restent toujours dans mon cœur, Agnès Desarthes, Alison Lurie ou Leonardo Padura ont trouvé une place de choix sur les rayonnages de ma bibliothèque.
Quelques-uns de mes livres de prédilection :
- Persuasion de Jane Austen ;
- Mangez-moi par Agnès Desarthes ;
- Le comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas ;
- Le choix de Sophie par William Styron…
Qu’est-ce que j’écris ?
J’ai commencé par écrire des nouvelles. Pour contrebalancer la morosité qui menace d’envahir l’humeur de chacun d’entre nous, j’ai orienté mes textes courts sur ces petits riens qui font émerger un rayon de soleil sur un visage désolé.
Aujourd’hui, je construis toutes mes œuvres autour de portraits psychologiques. Je m’interroge sur la place de la solidarité dans les relations qui lient les humains les uns aux autres.
Mon premier roman est un roman social contemporain.
Mon deuxième roman, plus noir, traitera du pouvoir destructeur des secrets de familles sur les rapports entre individus.
Distinctions :
- Concours de nouvelles courtes de Ceraf Solidarité 2015 : attribution d’un accessit pour ma nouvelle « Pow-wow à la harissa » ;
- Concours de nouvelles France Philippe 2015, catégorie Adultes de la médiathèque de Feignies : premier prix pour ma nouvelle « Au bord du ruisseau ».
Lien vers mon site internet : www.akarinthi.com
Lien vers mon éditeur : www.elpediteur.comInterview du 15 avril 2016 réalisée dans mon salon : interview
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Par Les-lectures-de-Mary le 1 Mars 2016 à 08:40
Après avoir enseigné l'anglais en lycée pendant 15 ans, Françoise Chapelon quitte l’éducation nationale pour se consacrer à ses 3 enfants et se découvre une véritable passion pour l'écriture. Son goût pour la lecture de romans à suspense la conduit vers ce genre littéraire, et c'est dans le Forez, un décor qui lui est familier, qu'elle choisit de planter le décor de ses romans.
Pour acheter ses livres : ils se trouvent (en principe) dans toutes les librairies de la Loire et dans certaines du Rhône
(Givors), Isère (Vienne), Puy de Dôme (Clermont) et Haute-Loire (?).
Mais il est possible de les commander dans toutes les librairies de France. On le trouve également dans certains
supermarchés.
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